À propos.

Je m’appelle Karin Caporal.

Je suis auteure photographe nature & animalier.
Par amour de la nature, par envie de partager sa beauté et les émotions qu’elle me procure et…par ce que j’aime aussi la photo. C’est une passion que j’ai eu la chance de partage avec mon conjoint.

Quand j’ai commencé la photo, j’avais une dizaine d’années, j’ai reçu un Instamatic 25 Kodak gagné à un concours.Vers 16 ans toutes mes économies en poche, je suis allée acheter mon premier reflex argentique, un Nikkormat.

Je partais explorer la nature environnante, les vergers, la forêt… Parallèlement dans la salle de bain  j’ai révélé mes premiers clichés N&B.

J’ai suivi un cursus en imagerie médicale, dans l’optique de faire de la photo médicale, mais à l’époque la photographie ne rentrait pas dans les habitudes hospitalières.

Les années ont passé, délaissant la photo argentique et son coût, pour la vidéo, je me suis formée au montage numérique.

C’est lorsque Canon a sorti son 5D Mark II que j’ai enfin pu retrouver le plaisir que j’avais adolescente, boitier en main, lors de mes sorties nature… et le virus s’est réveillé.

J’ai fait de la photo panoramique 360°,  de la photo aérienne avec cerf-volant, de la photo pour le BTP, des films d’entreprise et des clips vidéo.

En 2019, le blog : Posenature.fr, d’Adrien Coquerelle me nomme dans un article « les 14 femmes photographes animalières francophones à connaitre ».
Pendant le premier confinement sort en ligne un LiveDuo avec Régis Moscardini présenté en IGTV et podcast.
Je mets en ligne ses premières vidéos animalières et crée un site internet : https://caporal.fr.
Sélectionnée pour le festival de l’oiseau en 2020 et 2021, elle présente sa manière d’aborder la photo animalière à travers une vidéo présente sur sa page.
Elle participe à de nombreux festivals photographiques autant en France qu’a l’étranger.

En photo animalière, je préfère l’affût, laissant venir à moi la faune.

La protection

Je ne saurai faire des photos dans la nature sans tenter de la protéger.
Je participe depuis quelques années à la protection du Buzards Saint Martin ainsi que celle de la Chevêche. Cela me prend beaucoup de temps au détriment de la photo de terrain, mais j’essaye par ce biais de rendre à la nature tout le bien qu’elle me donne. 

Ma charte de photographe animalier

• J’observe la nature, j’apprends à la connaitre et à la respecter. Je m’adapte à elle et je participe à des actions de protection sur le terrain.
• Une photo ne justifie pas de déranger ou perturber un animal.
• Je laisse, après mon passage, le lieu d’affût néant de tout impact environnemental négatif.

Je suis équipée en